5 blocages à dissiper dans votre quête du travail idéal
Avant de me décider je me comparais à ceux qui étaient beaucoup plus avancés que moi. J’imaginais ces « professionnels talentueux » avec des standards que je n’avais pas. Comme un grand cabinet, une équipe dynamique, un réseau performant… Une fois que j’ai arrêté de me plaindre, j’ai retroussé mes manches et créé petit à petit bm coaching. Mes idées sur la réussite ne servaient que mes peurs. C’était il y a quelques temps. Maintenant ma vision est différente. Je souhaite partager avec vous les 5 premiers blocages dans votre quête du travail idéal.
- Nous nous auto-sabotons. Peu importe les promotions, réalisations ou éloges que nous avons obtenues nous n’en tenons pas compte et n’écoutons que nos critiques internes. Ces injonctions négatives dictent inlassablement nos actions. Peut-être êtes-vous persuadé de ne pas être assez diplômé ou intelligent ou peu charismatique ou encore pas assez connecté? Notre petite voix critique n’énonce pas la vérité. Cet auto-sabotage est la cause la plus importante qui nous empêche d’agir. C’est à nous de décider de ne pas l’écouter. Vous n’êtes pas votre critique intérieure, choisissez de ne pas être sa victime.
- Nous pensons que nous avons besoin d’être un expert. En réalité les grandes réalisations ne viennent pas des spécialistes, ils viennent de ceux qui ont eu une expérience personnelle et souhaitent la partager. Ex : une femme crée une entreprise pour aider les jeunes mamans victimes de baby-blues sur sa propre expérience de maman.
- On préfère la sécurité financière à sa passion. Certains disent « je sais que ma passion est X mais cela ne me fera pas vivre ». A chaque fois que vous avez cette pensée c’est de l’auto-sabotage. Aller jusqu’au bout de sa passion peut-être vertigineux. La passion des animaux mais pas très fier du salaire attribué? Engagez-vous dans des associations pour la protection animale. Des opportunités plus intéressantes s’ouvriront à vous ultérieurement. Passionné d’art mais peu rémunérateur? Investissez plus de temps dans votre art. Ce qui importe le plus est de répondre à ce qui vous appelle, soyez la suite de vos envies. Les exigences financières ne doivent pas être une excuse pour tourner le dos à votre souhait, donnez-lui une place dans votre emploi du temps. Attribuez-lui de l’importance.
- Nous sommes accrocs à être aimé. Eh oui! On a été élevé, surtout les femmes, avec l’injonction d’être aimable avec tout le monde. Pensez aussi à être respecté et pas seulement aimé. « Que ferai-je dans cette situation si ma priorité est le respect que j’inspire plutôt que de me préoccuper d’être sympathique? ».
- Nous ne savons pas gérer les peurs et le sentiment de vulnérabilité qui surgissent lorsqu’on joue gros pour aller au bout de ses ambitions. Il y a ce mythe inhérent à la poursuite de ses rêves impliquant uniquement des sentiments exaltants. En réalité cela soulève aussi la peur, l’échec, l’inconnu, le rejet. Acceptez ces challenges. Préparez-vous à ce passage obligé.
Vos triomphes, vos succès, vos échecs et vos erreurs vous appartiennent. Faites ainsi, de sorte que toute votre personne travaille dans votre intérêt.